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Compilation de différentes couches. Les sites retenus sont considérés comme site de référence dans les activités du parc national.
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Limite des réserves naturelles nationales gérées par Parc national des Ecrins par délégation des préfectures 05 et 38. Attention : cette couche ne présente pas de valeur juridique. Seule la liste des parcelles inscrites au décret de création des réserves permet de définir la limite exacte des réserves.
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Ensemble des lignes de lecture du PNE. SOURCE : Olivier SENN, relevés des 2 extrémités au GPS en 2008. 2017-01-23 - MAJ avec ajout de la ligne 132 (Le Lauzet)
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La base de données géographique CORINE Land Cover (CLC) est un inventaire biophysique de l'occupation des terres. Il est produit dans le cadre du programme européen d'observation de la terre Copernicus (39 États européens). Données de référence, CORINE Land Cover est issue de l'interprétation visuelle d'images satellitaires et est disponible pour les années suivantes : 1990, 2000, 2006, 2012 et 2018. Ces bases d'état sont accompagnées par les bases des changements 1990-2000, 2000-2006 et 2006-2012 (données sur les portions du territoire ayant changé d'occupation des sols).
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Cheminements autorisés pour le vol à voile à plus de 2800 m d'altitude dans le Parc national des Ecrins
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Couche sig de l' IGP vin de l'Isère Donnée élaborée dans le cadre du rapport de Guy Besson : LES PARCS NATIONAUX ET L'AGRICULTURE, 30 juin 2011. Couche SIG construite à partir de la liste des communes de l'aire géographique décrite par Institut national de l'origine et de la qualité INAO http://www.inao.gouv.fr contours des communes utilisé: IGN GEOFLA Les AOC sont des signes de qualité et d'origine pour les produits agro-alimentaires. Les territoires des parcs nationaux sont concernés par plusieurs AOC, notamment fromagères et viticoles. L'Appellation d'Origine Contrôlée est un signe français qui désigne un produit qui tire son authenticité et sa typicité de son origine géographique. Elle est l'expression d'un lien intime entre le produit et son terroir : - une zone géographique : caractéristiques géologiques, agronomiques, climatiques et historiques... - des savoirs-faire : conditions de production et de transformation spécifiques pour tirer le meilleur parti de la nature. Facteurs naturels et humains sont liés : le produit ne peut être fabriqué hors de son terroir. L'AOC est régie par un décret qui définit le cahier des charges du produit et la délimitation de son aire géographique. L'AOC est une démarche collective, portée par une structure qui représente et rassemble les opérateurs de la filière et qui est l'interlocuteur de l'INAO (Institut national de l'appellation d'origine), garant de la dénomination. L'AOP est la transposition européenne de l'AOC française pour les produits laitiers et agroalimentaires (hors viticulture). AOC et biodiversité : Les cahiers des charges des AOC n'intègrent pas explicitement la préservation de la biodiversité, cependant ils préconisent des pratiques favorables à la biodiversité directement ou indirectement.
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Les alpages et estives des parcs nationaux de montagne accueillent plus de 560 000 animaux dont environ 500 000 ovins, 54 000 bovins, 3 000 équins et 7 000 caprins (chiffres sous estimés en raison de certaines données manquantes). Les alpages et estives sont organisés en Unités Pastorales d’Altitude (UPA). Une Unité Pastorale est une portion de territoire toujours en herbe dont la fonction principale est le pâturage extensif par des troupeaux ovins, bovins, caprins ou équins. Elle forme une unité géographique, portion de territoire de plus de 10 ha en général et est gérée par un seul gestionnaire. Son utilisation est saisonnière, pour des raisons d’altitude et de climat, en général sans retour journalier des animaux au siège de l’exploitation. Les Unités Pastorales d’Altitude sont utilisées en période estivale (juin à septembre-octobre) et se situent au dessus et au niveau de l’habitat permanent. Les cinq parcs nationaux métropolitains de montagne présentent 1104 UPA, pour une surface de 445 840 ha, soit 34 % du territoire total de ces cinq parcs nationaux (cœur + aire optimale d’adhésion). Les UPA occupent 41% de la surface des cœurs. Sur le territoire du Parc national des Cévennes, ont été comptabilisées en tant qu’UPA les estives collectives ovines et les parcs d’altitude des bovins. Les UPA au PNC représentent 10% des surfaces pastorales totales. Les estives d’altitude ne constituent qu’une petite part des espaces pâturés.
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Les forêts anciennes sont des espaces boisés qui ont conservé leur vocation forestière depuis plus d'un siècle et demi. Déjà en place au milieu du XIXe siècle, ces forêts apparaissent sur les cartes de cette époque. Ces espaces sont susceptibles d'abriter des espèces emblématiques ou à caractère patrimonial. Une bonne connaissance de la localisation et des caractéristiques de ces massifs forestiers a donc nécessité de conduire une étude spécifique à l'échelle de six territoires de parcs. Celle-ci s'est basée sur des documents anciens (carte d'État-major, cadastre napoléonien, …) et sur l'inventaire forestier réalisé par l'IGN, afin de décrire – pour chaque territoire – les principaux aspects de l'évolution des paysages forestiers. Les données anciennes (carte d'État-major, cadastre napoléonien numérisés) ainsi que les données de l'inventaire forestier de l'IGN ont au préalable subi un traitement cartographique visant à agréger les polygones forestiers proches (distance inférieure à 75 mètres) et à éliminer ceux de très petite surface (2,25 ha pour un croisement avec la V2, 0,5 ha pour la V2).
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Précautions d’interprétation et méthodologie : Les cartes présentées ci-dessus sont des simulations de la pollution lumineuse à partir de l’occupation du sol. Les cartes ne sont valables que pour un cône zénithal de 50 ° (c’est à dire par rapport à la verticale d’ un lieu donné), et ne rendent pas compte des effets de la pollution lumineuse à l’horizon. Pour considérer les valeurs indiquées sur les cartes, il est entendu que l’observateur ne doit pas se trouver directement exposé lui-même à une source de lumière directe, et qu’ il se trouve depuis vingt minutes -au moins- à l’abri de toute source de lumière directe. L’exactitude des données n’est pas garantie : les valeurs sont indicatives et obtenues par le seul calcul, et non basées sur la réalité. Les données sont issues de la base d’occupation du sol Corine Land Cover 2006. Seules sont conservées les zones potentiellement émettrice de pollution lumineuse : zones urbaines, zones industrielles, zones pavillonnaires, ports, aéroports, certains aérodromes, routes principales et certaines superstructures (grosses centrales nucléaire notamment). Un algorithme de convolution élaboré par Avex (www.avex-asso.org) permet de transformer les valeurs des zones retenues en simulation de la pollution lumineuse. L’image obtenue est pondérée par le relief qui a un rôle d’atténuation avec l’altitude. Des phénomènes très localisés, comme l’éclairage de monuments ou d’édifices publics, ou au contraire l’extinction des luminaires passé une certaine heure, peuvent fausser localement les données. Ces cartes rendent compte de la pollution lumineuse pour 23 h, l’hiver, avec un taux moyen de 85° d’humidité. Les zones aquatiques ne sont pas à prendre en considération : la propagation des halos lumineux a été volontairement très fortement atténué au dessus des mers, et ce, dans un souci de clarté.