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  • Ensemble des sites (représentés par un point) utilisés pour l'immersion des sédiments issus des dragages portuaires en Guadeloupe.

  • Cette couche représente le découpage du littoral en unités morphosédimentaires en métropole et sur quatre territoires d'outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane et Mayotte). Ces unités morphosédimentaires ont été définies dans le cadre du projet "Dynamiques et évolution du littoral : synthèse des connaissances des côtes françaises". Les unités morphosédimentaires reposent sur un découpage du littoral en homogénéité de forme, nature et exposition de la côte.

  • La mise en œuvre des politiques publiques dédiées à la gestion du milieu marin en outre-mer et en métropole nécessitent la mobilisation et l'analyse de nombreuses données descriptives de l'environnement et des activités humaines. Afin de pouvoir analyser conjointement ces données, il est utile de pouvoir disposer d'une grille continue et régulière sur le domaine marin. Ainsi, le Cerema et l'Agence française pour la biodiversité ont développé un carroyage régulier de 1 minute de degré par 1 minute de degré, avec la possibilité de le décliner à des échelles plus petites. La présente couche porte sur la couverture de l'espace maritime de la métropole et des cinq territoires d'outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, Mayotte et Réunion) et de leurs abords. L'objectif de ce carroyage est de permettre la structuration, l'agrégation et la synthèse des données dans des unités géographiques clairement délimitées et connues. Ainsi, il sera possible de cartographier de façon homogène les processus environnementaux, les compartiments biologiques et écologiques, les activités humaines et les paramètres sociaux et économiques. In fine, l'analyse des données ainsi maillées peut produire de façon relativement rationnelle et répétable les éléments nécessaires à la localisation, à la description et à la compréhension des enjeux de l'espace marin. Le carroyage est en parfaite cohérence géométrique avec les référentiels existants tels que le carroyage MARSDEN, les rectangles statistiques du Système d'Information Halieutique et du CIEM, les zones de pêche FAO et le carroyage Valpena. La construction de cette grille s'inscrit, par ailleurs, dans la démarche initiée par le groupe de travail GIMeL (géoinformations pour la mer et le littoral) visant à mettre en place des informations géographiques de référence sur l'espace marin et littoral français.

  • Cette couche représente la géomorphologie et la géologie du trait de côte reportée sur le trait de côte Histolitt (Trait de Côte Histolitt France métropolitaine V2 © IGN-SHOM 2009) à grande échelle. La source des données provient principalement du projet européen EUROSION et de photo-interprétations réalisées par le Cerema.

  • Couche représentant les principaux attributs géologiques qui composent l’ensemble Alpes de la Méditerranée.

  • Différentes couches représentant différentes roches et structures géologiques, présentes à l'affleurement ou en sous-sol proche, de la région de l'aire du bien Unesco.

  • Pour les PPR naturels, le code de l'environnement définit deux catégories de zones (L562-1) : les zones exposées aux risques et les zones qui ne sont pas directement exposées aux risques mais sur lesquelles des mesures peuvent être prévues pour éviter d'aggraver le risque. En fonction du niveau d'aléa, chaque zone fait l'objet d'un règlement opposable. Les règlements distinguent généralement trois types de zones : 1- les « zones d'interdiction de construire », dites « zones rouges », lorsque le niveau d'aléa est fort et que la règle générale est l'interdiction de construire ; 2- les « zones soumises à prescriptions », dites « zones bleues », lorsque le niveau d'aléa est moyen et que les projets sont soumis à des prescriptions adaptées au type d'enjeu ; 3- les zones non directement exposées aux risques mais où des constructions, des ouvrages, des aménagements ou des exploitations agricoles, forestières, artisanales, commerciales ou industrielles pourraient aggraver des risques ou en provoquer de nouveaux, soumises à interdictions ou prescriptions (cf. article L562-1 du Code de l'environnement) . Cette dernière catégorie ne s'applique qu'aux PPR naturels.

  • Modélisation des zones favorables et très favorables au bouquetin sur l'ensemble du PNM

  • Pour les PPR naturels, le code de l'environnement définit deux catégories de zones (L562-1) : les zones exposées aux risques et les zones qui ne sont pas directement exposées aux risques mais sur lesquelles des mesures peuvent être prévues pour éviter d'aggraver le risque.En fonction du niveau d'aléa, chaque zone fait l'objet d'un règlement opposable. Les règlements distinguent généralement trois types de zones : 1- les « zones d'interdiction de construire », dites « zones rouges », lorsque le niveau d'aléa est fort et que la règle générale est l'interdiction de construire ; 2- les « zones soumises à prescriptions », dites « zones bleues », lorsque le niveau d'aléa est moyen et que les projets sont soumis à des prescriptions adaptées au type d'enjeu ; 3- les zones non directement exposées aux risques mais où des constructions, des ouvrages, des aménagements ou des exploitations agricoles, forestières, artisanales, commerciales ou industrielles pourraient aggraver des risques ou en provoquer de nouveaux, soumises à interdictions ou prescriptions (cf. article L562-1 du Code de l'environnement) . Cette dernière catégorie ne s'applique qu'aux PPR naturels.

  • Base de données numérique départementale des plans de préventions des risques naturels (multirisques). Seuls les PPRN approuvés et dont les données numériques ont été validées par le pôle risques naturels du service risques énergie déchets (RED) de la DEAL, puis structurées selon le cahier des charges interne à la DEAL sont intégrés dans la base départementale. Les autres PPRN approuvés mais dont les données ne sont pas structurées, c'est à dire telles que livrées par les divers prestataires, sont stockées et diffusées par le pôle risques naturels.