25000
Type of resources
Available actions
INSPIRE themes
Provided by
Years
Formats
Representation types
Update frequencies
status
Scale
-
L’organisation des services d’eau et d’assainissement a connu une profonde mutation institutionnelle au cours de ces dernières années, notamment avec la promulgation en 2015 de la loi NOTRe, portant nouvelle organisation territoriale de la République. Depuis 2016, 5 autorités organisatrices assurent la compétence eau et assainissement sur l’ensemble de la Guadeloupe (Figure 17): - 1 syndicat intercommunal : le Syndicat Intercommunal d’Alimentation en Eau et d’Assainissement de la Guadeloupe (SIAEAG), auquel adhèrent la Communauté d’Agglomération du Nord Grande-Terre (CANGT), la Communauté d’Agglomération la Riviera du Levant (CARL) et la Communauté d'Agglomération du Nord Basse-Terre (CANBT) pour les communes de Petit-Bourg et Goyave ; - 4 EPCI à fiscalité propre : la Communauté d’Agglomération de Cap Excellence (CAPEX), la Communauté d’Agglomération du Nord Basse-Terre (CANBT) hors Petit-Bourg et Goyave, la Communauté d’Agglomération Grand Sud Caraïbes (CAGSC) et la Communauté de Communes de Marie-Galante (CCMG). Les récents transferts de compétences ont induit des réorganisations plus ou moins complexes pour permettre d’assurer la continuité du service public pendant une phase transitoire de réorganisation. Ainsi, en 2018, deux structures intercommunales compétentes avaient une convention avec certaines communes pour la gestion de l’eau et de l’assainissement sur une partie de leur territoire : - la CAGSC, par convention de gestion avec la commune de Trois-Rivières, - la CANBT, par convention de gestion avec les communes du Lamentin, de Sainte-Rose et de Deshaies.
-
Cette cartographie présente la répartition des émissions de NOx tous secteurs confondus par Etablissement Public de Coopération Intercommunale (EPCI) en 2015.
-
L’atlas des paysages est un outil de connaissance partagée des dynamiques et des enjeux des paysages. Son objectif est d’identifier, de caractériser et de qualifier tous les paysages, qu’ils soient considérés comme remarquables, du quotidien ou dégradés. L’unité paysagère est l’échelle élémentaire et détaillée de l’atlas. Elle est constituée par une portion de territoire qui présente des caractéristiques homogènes pour différentes composantes : relief, habitat, occupation des sols… dont l’association et l’organisation déterminent une structure paysagère. 25 unités paysagères ont été définies en Guadeloupe.
-
Séries de données géographiques produites par le SIG Directive inondation du territoire à risque important d’inondation (TRI) de Guadeloupe et cartographiées aux fins de rapportage pour la directive européenne sur les inondations. La Directive européenne 2007/60/CE du 23 octobre 2007 relative à l'évaluation et à la gestion des risques d'inondation (JOUE L 288, 06-11-2007, p.27) influence la stratégie de prévention des inondations en Europe. Elle impose la production de plan de gestion des risques d’inondations qui vise à réduire les conséquences négatives des inondations sur la santé humaine, l’environnement, le patrimoine culturel et l’activité économique. Les objectifs et exigences de réalisation sont donnés par la loi du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l’environnement (LENE) et le décret du 2 mars 2011. Dans ce cadre, l'objectif premier de la cartographie des surfaces inondables et des risques d'inondation pour les TRI est de contribuer, en homogénéisant et en objectivant la connaissance de l'exposition des enjeux aux inondations, à l’élaboration des plans de gestion des risques d’inondation (PGRI). Cette série de données sert à produire les cartes de surfaces inondables et la carte de risques d’inondation qui représentent respectivement les aléas d’inondation et les enjeux exposés à une échelle appropriée. Leur objectif est d’apporter des éléments quantitatifs permettant d’évaluer plus finement la vulnérabilité d’un territoire pour les trois niveaux de probabilité d’inondation (fort, moyen, faible). Les TRI arrêtés dans le cadre du 1er cycle de la directive inondation sont définis de la manière suivante : TRI « Centre » Les Abymes – Baie-Mahault – Le Gosier - Le Moule – Morne-à-l’Eau – Pointe-à-Pitre - Sainte-Anne. Inondations par débordement de cours d’eau, par ruissellement pluvial et par submersion marine TRI « Basse-Terre – Baillif » Inondations par débordement de cours d’eau et par ruissellement pluvial
-
Le prix moyen du service d'assainissement collectif est calculé au mètre cube, sur la base d'une consommation annuelle d'eau de 120 m³, qui sert de référence et qui correspond à la consommation annuelle moyenne d'un foyer de quatre personnes.
-
Carbets de bivouac situés le long du sentier "GR G1 - Trace des Alizés", sentier traversant le massif de la Basse-Terre du sud au nord (phare de Vieux-Fort / plage des Amandiers à Sainte Rose). Refuge de l'Echelle, refuge du Morne Frébault/ Matéliane, refuge des Trois Crêtes, refuge de Morne Léger, refuge de Belle-Hôtesse.
-
La mise en place de ces PPC est de la responsabilité des collectivités en charge de la production d’eau potable. L’instruction des dossiers est réalisée par l’Agence Régionale de Santé (ARS), conjointement à l'autorisation des captages destinés à l'AEP qui se fait au titre du code de la santé publique et du code de l'environnement. Les PPC sont rendus officiels par déclaration d'utilité publique. Au 1er janvier 2019, 40 % des captages d’eau potable de Guadeloupe possédaient des PPC. Ces captages prélèvent 75 % de l’eau destinée à l’AEP.
-
Objets du patrimoine culturel jugé localement vulnérable dans un scénario d'inondation (musés, collection, église, monument, zone protégée...). Ne sont inclus que les éléments du patrimoine qui se situent sur au moins une surface inondable du TRI et jugés à priori vulnérables d'après leur type, lorsque l'enjeu le justifie localement. Séries de données géographiques produites par le SIG Directive inondation du territoire à risque important d’inondation (TRI) de Guadeloupe et cartographiées aux fins de rapportage pour la directive européenne sur les inondations. La Directive européenne 2007/60/CE du 23 octobre 2007 relative à l'évaluation et à la gestion des risques d'inondation (JOUE L 288, 06-11-2007, p.27) influence la stratégie de prévention des inondations en Europe. Elle impose la production de plan de gestion des risques d’inondations qui vise à réduire les conséquences négatives des inondations sur la santé humaine, l’environnement, le patrimoine culturel et l’activité économique. Les objectifs et exigences de réalisation sont donnés par la loi du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l’environnement (LENE) et le décret du 2 mars 2011. Dans ce cadre, l'objectif premier de la cartographie des surfaces inondables et des risques d'inondation pour les TRI est de contribuer, en homogénéisant et en objectivant la connaissance de l'exposition des enjeux aux inondations, à l’élaboration des plans de gestion des risques d’inondation (PGRI). Cette série de données sert à produire les cartes de surfaces inondables et la carte de risques d’inondation qui représentent respectivement les aléas d’inondation et les enjeux exposés à une échelle appropriée. Leur objectif est d’apporter des éléments quantitatifs permettant d’évaluer plus finement la vulnérabilité d’un territoire pour les trois niveaux de probabilité d’inondation (fort, moyen, faible). Les TRI arrêtés dans le cadre du 1er cycle de la directive inondation sont définis de la manière suivante : TRI « Centre » Les Abymes – Baie-Mahault – Le Gosier - Le Moule – Morne-à-l’Eau – Pointe-à-Pitre - Sainte-Anne. Inondations par débordement de cours d’eau, par ruissellement pluvial et par submersion marine TRI « Basse-Terre – Baillif » Inondations par débordement de cours d’eau et par ruissellement pluvial
-
Fréquences de dépassement de la référence de qualité de l'aluminium dans les unités de traitement de l'eau en 2019. L’aluminium est un élément naturellement présent dans les sols et les sous-sols de la Basse-Terre. Il est également utilisé sous forme de sels dans les unités de potabilisation pour agréger les particules en suspension dans l’eau avant filtration et désinfection. La présence de l’aluminium dans l’eau de consommation peut donc être d’origine naturelle, ou indiquer un dysfonctionnement ou une utilisation excessive de cet élément lors du traitement de l'eau.
-
Coordonnées GPS des bouées marquant la limite de la réserve naturelle terrestre et maritime nationale de Petite-Terre (Désirade)