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L’atlas des paysages est un outil de connaissance partagée des dynamiques et des enjeux des paysages. Son objectif est d’identifier, de caractériser et de qualifier tous les paysages, qu’ils soient considérés comme remarquables, du quotidien ou dégradés. L’unité paysagère est l’échelle élémentaire et détaillée de l’atlas. Elle est constituée par une portion de territoire qui présente des caractéristiques homogènes pour différentes composantes : relief, habitat, occupation des sols… dont l’association et l’organisation déterminent une structure paysagère. 25 unités paysagères ont été définies en Guadeloupe.
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Carte identifiant les zones de forêt pouvant potentiellement faire l'objet d'une valorisation économique via des coupes de bois ainsi que pour le développement de l’agroforesterie.
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Cartographie des enjeux liés à la protection des sols. Permet d'identifier les zones à préserver afin de protéger, au mieux le territoire des mouvements de terrain et de la houle cyclonique, ou tout au moins d'en atténuer les effets.
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En Guadeloupe, les stations d'épuration collectives sont réparties sur tout le territoire. Parmi celles-ci, 18 ont une capacité nominale supérieure ou égale à 2 000 EH. Pour l’année 2019, 72 % des stations de traitement ≥ 2 000 EH n'étaient pas conformes (ce qui représente 69 % du total des charges entrantes dans l’ensemble de ces stations). Elles étaient 67 % en 2018 et 61 % en 2017.
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Localisation des Etablissement d'Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD) en Guadeloupe en 2017.
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La cartographie des enjeux liés à la protection de la ressource en eau a pour objectif d'identifier les zones dont le boisement ou l'exploitation pourrait potentiellement faire peser un risque sur la ressource en eau, qu'il s'agisse de l'eau potable, via la pollution des sols sur le périmètre d'une zone de captage, ou d'un cours d'eau présentant un intérêt majeur d'un point de vue biodiversité, via le ruissèlement de polluants ou de matières naturelles de nature à augmenter sa turbidité/
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L’atlas des paysages est un outil de connaissance partagée des dynamiques et des enjeux des paysages. Son objectif est d’identifier, de caractériser et de qualifier tous les paysages, qu’ils soient considérés comme remarquables, du quotidien ou dégradés. Le grand ensemble paysager est l’échelle globale et synthétique de l’atlas. Il regroupe plusieurs unités paysagères qui partagent des caractéristiques communes et génériques qui constituent ses fondements identitaires. 8 grands ensembles paysagers structurent l’atlas, regroupant chacun de 2 à 4 unités paysagères.
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Cette couche rassemble différents thèmes d'occupation sur l'archipel de la Guadeloupe, Saint-Martin, Saint-Barthélemy: - espaces artificialisés, - espaces agricoles, - espaces naturels, - espaces forestiers, - surfaces en eau
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Cartographie faisant état des sites de pontes et des points de captages d'eau ayant des enjeux respectivement de biodiversité et sur la ressource en eau. Vient compléter les données: - Diagnostic forestier - les enjeux de la biodiversité - Diagnostic forestier - les enjeux de la ressource en eau
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La cartographie des zones faisant l’objet d’une protection juridique a pour objectif d’identifier et de réunir sur une même carte les zones dont le déboisement ou l’exploitation est interdite en raison du statut de protection dont elles font l’objet ou à éviter en raison de l’intérêt qu’elle représente pour la biodiversité ou les paysages. Le tableau ci-dessous précise à titre indicatif la superficie par île de ces formations végétales à préserver prioritairement. Remarque : Cette analyse a pour vocation d’identifier les zones concernées par un statut de protection ou une reconnaissance officielle en termes de biodiversité ou de paysage (exemple des ZNIEFF et sites classés) et où tout aménagement susceptible de créer des nuisances pour l’environnement est pour cette raison soit interdit, soit à éviter. Elle n’a pas pour vocation d’inventorier ou de mettre en avant les régions de Guadeloupe où la biodiversité est particulièrement menacée et n’indique pas que la biodiversité est moins menacée sur les zones non concernées par ces statuts.