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  • Service WFS - Base de données de l'occupation du sol (OCS2d Guadeloupe) millésime 2022 créée à partir d'une orthophotographie aérienne couleur (année 2022) à 20 cm de résolution. Le tracé vectoriel a été réalisé à l'échelle du 1/3 000ème sur les secteurs non-artificialisés et au 1/2 000ème sur les secteurs artificialisés.

  • Service WFS - L'inventaire des Zones Naturelles d'Intérêt Écologique, Faunistique et Floristique (ZNIEFF) a pour objectif d'identifier et de décrire, sur l'ensemble du territoire national, des secteurs de plus grand intérêt écologique abritant la biodiversité patrimoniale dans la perspective de créer un socle de connaissance mais aussi un outil d'aide à la décision (protection de l'espace, aménagement du territoire).

  • Service WFS - Périmètres d'intervention approuvés par le Conseil d'Administration du Conservatoire du littoral

  • Service WFS - Base de données de l'occupation du sol (OCS2d Guadeloupe) millésime 2022 créée à partir d'une orthophotographie aérienne couleur (année 2022) à 20 cm de résolution. Le tracé vectoriel a été réalisé à l'échelle du 1/3 000ème sur les secteurs non-artificialisés et au 1/2 000ème sur les secteurs artificialisés.

  • Service WFS - Cette couche représente la géomorphologie et la géologie du trait de côte reportée sur le trait de côte Histolitt (Trait de Côte Histolitt France métropolitaine V2 © IGN-SHOM 2009) à grande échelle. La source des données provient principalement du projet européen EUROSION et de photo-interprétations réalisées par le Cerema.

  • Service WFS - Base de données de l'occupation du sol (OCS2d Guadeloupe) millésime 2022 créée à partir d'une orthophotographie aérienne couleur (année 2022) à 20 cm de résolution. Le tracé vectoriel a été réalisé à l'échelle du 1/3 000ème sur les secteurs non-artificialisés et au 1/2 000ème sur les secteurs artificialisés.

  • Les taux d’impayés disponibles pour 2021 sont plus élevés que la moyenne au niveau national, qui ne dépasse pas les 2 % (rapport SISPEA 2021). Par rapport à 2020, le recouvrement s'est notamment nettement amélioré sur le territoire de la CCMG ( - 5,6 points) et au Lamentin (- 5,4 points). Le taux de 51% observé sur le territoire de la direction Centre du SMGEAG est le plus élevé qui ait été constaté sur l'ensemble de la Guadeloupe au cours des quatre dernières années.

  • Service WFS - L’expertise des dispositif d’autosurveillance a pour objectif de vérifier : 1. la présence des dispositifs de mesure ou d’estimation de débits et de prélèvements d’échantillons sur la station ; 2. le bon fonctionnement et le respect des conditions d’exploitation de ces dispositifs ; 3. la faisabilité et la représentativité des mesures obtenues à partir de ces échantillons ; 4. le respect des conditions de transport et de stockage des échantillons prélevés ; 5. le respect des modalités de réalisation des analyses pour les paramètres par l’arrêté de 2015, complétés le cas échéant par ceux de l’arrêté préfectoral d’autorisation. En 2020, 4 dispositifs d’autosurveillance ont été « validé » par SOCOTEC, 3 « validé avec des améliorations à apporter » et 10 « non validé ».

  • La mise en place des PPC est de la responsabilité des collectivités en charge de la production d’eau potable. L’instruction des dossiers est réalisée conjointement à l'autorisation des captages au titre du code de la santé publique. Les PPC sont rendus officiels par déclaration d'utilité publique et doivent être annexés aux Plans Locaux d’Urbanismes (PLU). Au 1er janvier 2022, seuls 39 % des captages d’eau potable de Guadeloupe disposaient d'une autorisation d'exploitation et d’une délimitation des PPC (la mise en œuvre et le suivi des mesures de protection restent cependant à conforter, voire à mettre en place). Ces captages prélèvent néanmoins 74,2 % du volume d'eau destiné à l'AEP.

  • Service WFS - Ce référentiel national offre une géométrie de l’ensemble des plans d’eau de la métropole et des départements d’outre-mer (complément en cours pour la Guyane). Au sens du dispositif, sont considérés comme plans d’eau les « étendues d’eau continentale de surface, libre, stagnante » (cf. définition SANDRE de 2005). L’INPE propose donc un socle commun pour la géométrie des plans d’eau et leur description, ainsi qu’un identifiant national unique. L’INPE a pour vocation de rassembler pour chaque plan d’eau des informations sur les caractéristiques physiques et hydrologiques, leurs relations avec les territoires, leur environnement proche (connectivité avec les milieux hydrographiques et les zones humides), leurs usages et leur gestion. Un dispositif collaboratif est prévu afin que les acteurs du territoire et les contributeurs puissent enrichir ce nouveau référentiel.