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Systèmes électriques Guadeloupe interconnectés
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Pour financer la collecte des déchets ménagers et assimilés, les communes de Guadeloupen et leurs groupements (syndicat, EPCI) ont choisit le dispositif "taxe d'enlèvement d'enlèvement des ordures ménagères (TEOM)". La carte présente le Taux de cette taxe par collectivité en2015.
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Carte recensant 2 790 lieux-dits du territoire. Son objectif est de disposer d'une maille d'analyse statistique et spatiale plus fine que la commune.
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Ration de collecte des encombrants par habitant en 2015. Kg/habitant.
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Ration de collecte des OMR. Désigne la part des déchets qui restent après les collectes sélectives. Cette fraction de déchets est parfois appelée poubelle grise. Sa composition varie selon les lieux en fonction des types de collecte.
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Répartition par commune de la TEOM par habitant et moyenne par commune.
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Les services de l’État procèdent chaque année à un inventaire contradictoire avec les communes dites concernées par la loi SRU pour décompter le nombre de logements sociaux sur le territoire communal et ainsi déterminer le taux de logements sociaux, en regard des résidences principales.
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Cette carte présente les chiffres clés de l’eau et de l’assainissement de Guadeloupe. Son contenu s’appuie sur les données réglementaires que les collectivités renseignent annuellement dans le Système d’Information des Services Publics d’Eau et d’Assainissement (SISPEA), ainsi que sur les informations produites ou détenues par les partenaires impliqués. L'ensemble de ces données n'est cependant pas produit ou validé dans le même temps par les différents contributeurs. Pour cette publication 2021, les données présentées sont celles relatives à l'année 2019.
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L’État des lieux (EDL) comprend, conformément à l’article R. 212-3 du code de l’environnement : 1. Une analyse des caractéristiques du district hydrographique (bassin ou groupement de bassins), qui comprend notamment la présentation des masses d’eau du bassin et l’évaluation de l’état de ces masses d’eau ; 2. Une analyse des impacts des activités humaines sur l’état des eaux, qui inclut notamment l’évaluation des pressions et l’évaluation du risque de non-atteinte des objectifs environnementaux (RNAOE) à l’horizon 2027 ; 3. Une analyse économique de l’utilisation de l’eau, qui comporte notamment une description des activités utilisatrices de l'eau, une présentation des prix moyens et des modalités de tarification des services collectifs de distribution d'eau et d'irrigation et une évaluation du coût des utilisations de l'eau. L’État des lieux inclut également l’inventaire des émissions, des rejets et des pertes de polluants à l’échelle du district hydrographique, en application de la directive 2013/39/UE du 12 août 2013. Cette carte présente la synthèse du dernier état des lieux des masses d'eau de Guadeloupe qui a été réalisé par l'Office de l'Eau en 2019.
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Les réserves de biosphère sont des zones comprenant des écosystèmes terrestres, marins et côtiers. Chaque réserve favorise des solutions conciliant la conservation de la biodiversité et son utilisation durable. La Réserve de Biosphère de l’Archipel de la Guadeloupe a été désignée par l’UNESCO en 1992. Il s’agit d’une reconnaissance mondiale pour un territoire doté d’écosystèmes de grande qualité. Depuis 2009, le territoire de la réserve de biosphère est composé de 21 communes de l’Archipel. Trois zones indépendantes constituent la réserve de biosphère. L'ensemble couvre près de 77% de la superficie totale de l'île. - Aire centrale : (22 144 hectares) est composée des espaces classés en cœur de Parc : le massif forestier de la Basse-Terre, les îlets Pigeon avec les récifs coralliens qui les entourent, les îlets Kahouanne et Tête à l’Anglais, les cœurs de la baie du Grand Cul-de-Sac Marin : mangroves et marais de Choisy et Lambis, estuaire de la Grande Rivière à Goyaves, îlets Fajou, Christophe, Carénage et la Biche. - Zone tampon (30 506 ha) correspond à des territoires protégés : la forêt départementalo-domaniale non classée en cœur de parc, des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), des territoires classés par un arrêté de protection de biotope, des sites classés ou inscrits, des territoires appartenant au conservatoire du littoral ou encore aux domaines publics maritimes terrestres. - Aire de transition (195 318 ha) comprend l’aire d’adhésion et l’aire maritime adjacente du Parc national, qui comprend la zone RAMSAR (Convention de RAMSAR signée par la France en 1986, relative aux zones humides d’importance internationale, particulièrement comme habitats des oiseaux d’eau).
Catalogues des Parcs Nationaux