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  • L’État des lieux (EDL) comprend, conformément à l’article R. 212-3 du code de l’environnement : 1. Une analyse des caractéristiques du district hydrographique (bassin ou groupement de bassins), qui comprend notamment la présentation des masses d’eau du bassin et l’évaluation de l’état de ces masses d’eau ; 2. Une analyse des impacts des activités humaines sur l’état des eaux, qui inclut notamment l’évaluation des pressions et l’évaluation du risque de non-atteinte des objectifs environnementaux (RNAOE) à l’horizon 2027 ; 3. Une analyse économique de l’utilisation de l’eau, qui comporte notamment une description des activités utilisatrices de l'eau, une présentation des prix moyens et des modalités de tarification des services collectifs de distribution d'eau et d'irrigation et une évaluation du coût des utilisations de l'eau. L’État des lieux inclut également l’inventaire des émissions, des rejets et des pertes de polluants à l’échelle du district hydrographique, en application de la directive 2013/39/UE du 12 août 2013. Cette carte présente la synthèse du dernier état des lieux des masses d'eau de Guadeloupe qui a été réalisé par l'Office de l'Eau en 2019.

  • Service WFS - L’expertise des dispositif d’autosurveillance a pour objectif de vérifier : 1. la présence des dispositifs de mesure ou d’estimation de débits et de prélèvements d’échantillons sur la station ; 2. le bon fonctionnement et le respect des conditions d’exploitation de ces dispositifs ; 3. la faisabilité et la représentativité des mesures obtenues à partir de ces échantillons ; 4. le respect des conditions de transport et de stockage des échantillons prélevés ; 5. le respect des modalités de réalisation des analyses pour les paramètres par l’arrêté de 2015, complétés le cas échéant par ceux de l’arrêté préfectoral d’autorisation. En 2020, 4 dispositifs d’autosurveillance ont été « validé » par SOCOTEC, 3 « validé avec des améliorations à apporter » et 10 « non validé ».

  • Fréquences de dépassement de la référence de qualité de la turbidité dans les unités de traitement de l'eau en 2019. La turbidité de l'eau est principalement provoquée par des épisodes de fortes pluies, qui apportent aux rivières des particules minérales plus ou moins fines après ruissellement sur les sols.

  • Fréquences de dépassement des limites et références de qualité bactériologique dans les unités de distribution (UDI) en 2019. L'eau qui est distribuée doit être désinfectée. Pour cela, du chlore est ajouté à l'eau en sortie des unités de potabilisation. Des postes de rechloration peuvent être installés sur le réseau pour maintenir un taux de chlore suffisant. L’absence de bactéries dans l’eau distribuée est liée à la qualité du traitement, mais peut aussi dépendre du bon usage des réseaux de distribution.

  • En Guadeloupe, 18 stations ont une capacité nominale supérieure ou égale à 2 000 EH. Pour l’année 2021, 78 % des dispositifs de traitement ≥ 2 000 EH n'étaient pas conformes réglementairement. Ils étaient 72 % en 2020 et 2019, 67 % en 2018 et 61 % en 2017.

  • Fréquences de dépassement des limites et références de qualité bactériologique dans les unités de distribution (UDI) en 2018. L'eau qui est distribuée doit être désinfectée. Pour cela, du chlore est ajouté à l'eau en sortie des unités de potabilisation. Des postes de rechloration peuvent être installés sur le réseau pour maintenir un taux de chlore suffisant. L’absence de bactéries dans l’eau distribuée est liée à la qualité du traitement, mais peut aussi dépendre du bon usage des réseaux de distribution.

  • Cette carte présente les chiffres clés de l’eau et de l’assainissement en Guadeloupe. Ce condensé de chiffres commentés constitue un rapport ayant vocation à être publié chaque année. Son contenu s’appuie sur les données réglementaires produites annuellement par les services d’eau et d’assainissement (RAD, RPQS), ainsi que les informations produites ou détenues par les différents partenaires impliqués (diagnostics techniques, consommation et répartition des financements publics...).

  • Fréquences de dépassement de la référence de qualité de la turbidité dans les unités de traitement de l'eau en 2018. La turbidité de l'eau est principalement provoquée par des épisodes de fortes pluies, qui apportent aux rivières des particules minérales plus ou moins fines après ruissellement sur les sols.

  • Caractérisation des non-conformités vis-à-vis du dépassement de la limite de qualité pour la chlordécone dans les unités de traitement de l'eau en 2018. Les dépassements situés entre la limite de qualité (0,1 µg/L) et la valeur sanitaire maximale (1,5 µg/L) sont encadrés au niveau national et régional, et concernent la gestion unique du risque selon les dispositifs mis en œuvre par les collectivités et les exploitants (dérogation, exploitation d’une autre ressource, délai de changement des filtres à charbons actifs, réactivité, ...).

  • Caractérisation des non-conformités vis-à-vis du dépassement de la limite de qualité pour la chlordécone dans les unités de traitement de l'eau en 2019. Les dépassements situés entre la limite de qualité (0,1 µg/L) et la valeur sanitaire maximale (1,5 µg/L) sont encadrés au niveau national et régional, et concernent la gestion unique du risque selon les dispositifs mis en œuvre par les collectivités et les exploitants (dérogation, exploitation d’une autre ressource, délai de changement des filtres à charbons actifs, réactivité, ...).