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  • En 2017, le Conservatoire Botanique National de Méditerranée a produit une hiérarchisation des enjeux de conservation de la flore régionale, apportant une information complémentaire aux statuts de protection et aux niveaux de menace déjà disponibles. En 2019, le Parc national des Calanques a travaillé à la déclinaison locale de cette hiérarchisation des enjeux de conservation pour les espèces présentes sur son territoire, à partir d'un score obtenu en croisant quatre critères : - l'enjeu régional identifié par le CBN Med, - l'indice de responsabilité régionale (si la distribution de l'espèce sur le territoire du Parc est supérieure à la distribution régionale), - la rareté locale d'une espèce sur le Parc national, - un indice de vulnérabilité (pondération des espèces en fonction de leur niveau d'extinction) A partir du score obtenu, les espèces sont distribuées sur une échelle allant d'un enjeu de conservation faible à un enjeu très fort. Ce travail est amené à évoluer en fonction de l'évolution du niveau de connaissance. Elle a notamment été mise à jour en 2021.

  • Le catalogue d'espèces recense toutes les espèces observées sur le territoire du Parc national, par ses agents, des partenaires, des bénévoles de manière occasionnelle (hors protocole le plus souvent) ainsi que des espèces mentionnées dans la bibliographie. Pour chaque espèce observée, une description de la taxonomie de l'espèce est proposée (qu'il s'agisse d'un taxon de référence ou d'un synonyme) ainsi que la liste de ses statuts de protection, tels qu'ils sont indiqués dans le référentiel taxonomique de l'INPN.

  • Plan de balisage de la bande des 300 m des communes de Marseille, Cassis, la Ciotat et Saint-Cyr-sur-Mer

  • En 2019, le Parc national des Calanques a travaillé à une hiérarchisation locale des enjeux de conservation pour les espèces d'avifaune nicheuse présentes sur son territoire, à partir des statuts ZNIEFF et des menaces de conservation soulevés par les statuts sur les listes rouges nationale et régionale de l'UICN. Un score a été obtenu a partir de ces premiers indices avant d'être débattu à dires d'experts par les ornithologues du Parc national pour obtenir cette hiérarchisation.

  • Les arrêtés de protection de biotope concernent les milieux naturels peu exploités par l'homme et abritant des espèces faunistiques non domestiques et/ou floristiques non cultivées protégées au titre des articles L. 411-1 et L. 411-2 du Code de l'environnement. L'objectif est de prévenir la disparition des espèces protégées grâce à des mesures de conservation de leurs biotopes : nécessaires à leur alimentation, à leur reproduction, à leur repos ou à leur survie, ces biotopes peuvent être constitués par des mares, des marécages, des marais, des haies, des bosquets, des landes, des dunes, des pelouses ou par toutes autres formations naturelles peu exploitées par l'homme.

  • Zonages règlementaires du Parc national des Calanques créés par le décret n°2012-507 modifié du 18 avril 2012 (zone de non chasse, zones de non prélèvement, zone de protection rapprochée, zones d'interdiction de diffusion sonore, zones d'accès aux calanques réglementées), enrichis des zonages complémentaires ajoutés par le Conseil d'administration du Parc national (zone de non chasse de Legré-Mante du 5 juillet 2019)

  • Pour les PPR naturels, le code de l'environnement définit deux catégories de zones (L562-1) : les zones exposées aux risques et les zones qui ne sont pas directement exposées aux risques mais sur lesquelles des mesures peuvent être prévues pour éviter d'aggraver le risque. En fonction du niveau d'aléa, chaque zone fait l'objet d'un règlement opposable. Les règlements distinguent généralement trois types de zones : 1- les « zones d'interdiction de construire », dites « zones rouges », lorsque le niveau d'aléa est fort et que la règle générale est l'interdiction de construire ; 2- les « zones soumises à prescriptions », dites « zones bleues », lorsque le niveau d'aléa est moyen et que les projets sont soumis à des prescriptions adaptées au type d'enjeu ; 3- les zones non directement exposées aux risques mais où des constructions, des ouvrages, des aménagements ou des exploitations agricoles, forestières, artisanales, commerciales ou industrielles pourraient aggraver des risques ou en provoquer de nouveaux, soumises à interdictions ou prescriptions (cf. article L562-1 du Code de l'environnement) . Cette dernière catégorie ne s'applique qu'aux PPR naturels.

  • Un site classé est un site ou « monument naturel dont la conservation ou la préservation présente au point de vue artistique, historique, scientifique, légendaire ou pittoresque, un intérêt général ».

  • Pour les PPR naturels, le code de l'environnement définit deux catégories de zones (L562-1) : les zones exposées aux risques et les zones qui ne sont pas directement exposées aux risques mais sur lesquelles des mesures peuvent être prévues pour éviter d'aggraver le risque.En fonction du niveau d'aléa, chaque zone fait l'objet d'un règlement opposable. Les règlements distinguent généralement trois types de zones : 1- les « zones d'interdiction de construire », dites « zones rouges », lorsque le niveau d'aléa est fort et que la règle générale est l'interdiction de construire ; 2- les « zones soumises à prescriptions », dites « zones bleues », lorsque le niveau d'aléa est moyen et que les projets sont soumis à des prescriptions adaptées au type d'enjeu ; 3- les zones non directement exposées aux risques mais où des constructions, des ouvrages, des aménagements ou des exploitations agricoles, forestières, artisanales, commerciales ou industrielles pourraient aggraver des risques ou en provoquer de nouveaux, soumises à interdictions ou prescriptions (cf. article L562-1 du Code de l'environnement) . Cette dernière catégorie ne s'applique qu'aux PPR naturels.