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  • Couche sig de l' IGP viticole Ardèche Donnée élaborée dans le cadre du rapport de Guy Besson : LES PARCS NATIONAUX ET L'AGRICULTURE, 30 juin 2011. Couche SIG construite à partir de la liste des communes de l'aire géographique décrite par Institut national de l'origine et de la qualité INAO http://www.inao.gouv.fr contours des communes utilisé: IGN GEOFLA Les AOC sont des signes de qualité et d'origine pour les produits agro-alimentaires. Les territoires des parcs nationaux sont concernés par plusieurs AOC, notamment fromagères et viticoles. L'Appellation d'Origine Contrôlée est un signe français qui désigne un produit qui tire son authenticité et sa typicité de son origine géographique. Elle est l'expression d'un lien intime entre le produit et son terroir : - une zone géographique : caractéristiques géologiques, agronomiques, climatiques et historiques... - des savoirs-faire : conditions de production et de transformation spécifiques pour tirer le meilleur parti de la nature. Facteurs naturels et humains sont liés : le produit ne peut être fabriqué hors de son terroir. L'AOC est régie par un décret qui définit le cahier des charges du produit et la délimitation de son aire géographique. L'AOC est une démarche collective, portée par une structure qui représente et rassemble les opérateurs de la filière et qui est l'interlocuteur de l'INAO (Institut national de l'appellation d'origine), garant de la dénomination. L'AOP est la transposition européenne de l'AOC française pour les produits laitiers et agroalimentaires (hors viticulture). AOC et biodiversité : Les cahiers des charges des AOC n'intègrent pas explicitement la préservation de la biodiversité, cependant ils préconisent des pratiques favorables à la biodiversité directement ou indirectement.

  • Les alpages et estives des parcs nationaux de montagne accueillent plus de 560 000 animaux dont environ 500 000 ovins, 54 000 bovins, 3 000 équins et 7 000 caprins (chiffres sous estimés en raison de certaines données manquantes). Les alpages et estives sont organisés en Unités Pastorales d’Altitude (UPA). Une Unité Pastorale est une portion de territoire toujours en herbe dont la fonction principale est le pâturage extensif par des troupeaux ovins, bovins, caprins ou équins. Elle forme une unité géographique, portion de territoire de plus de 10 ha en général et est gérée par un seul gestionnaire. Son utilisation est saisonnière, pour des raisons d’altitude et de climat, en général sans retour journalier des animaux au siège de l’exploitation. Les Unités Pastorales d’Altitude sont utilisées en période estivale (juin à septembre-octobre) et se situent au dessus et au niveau de l’habitat permanent. Les cinq parcs nationaux métropolitains de montagne présentent 1104 UPA, pour une surface de 445 840 ha, soit 34 % du territoire total de ces cinq parcs nationaux (cœur + aire optimale d’adhésion). Les UPA occupent 41% de la surface des cœurs.

  • Les alpages et estives des parcs nationaux de montagne accueillent plus de 560 000 animaux dont environ 500 000 ovins, 54 000 bovins, 3 000 équins et 7 000 caprins (chiffres sous estimés en raison de certaines données manquantes). Les alpages et estives sont organisés en Unités Pastorales d’Altitude (UPA). Une Unité Pastorale est une portion de territoire toujours en herbe dont la fonction principale est le pâturage extensif par des troupeaux ovins, bovins, caprins ou équins. Elle forme une unité géographique, portion de territoire de plus de 10 ha en général et est gérée par un seul gestionnaire. Son utilisation est saisonnière, pour des raisons d’altitude et de climat, en général sans retour journalier des animaux au siège de l’exploitation. Les Unités Pastorales d’Altitude sont utilisées en période estivale (juin à septembre-octobre) et se situent au dessus et au niveau de l’habitat permanent. Les cinq parcs nationaux métropolitains de montagne présentent 1104 UPA, pour une surface de 445 840 ha, soit 34 % du territoire total de ces cinq parcs nationaux (cœur + aire optimale d’adhésion). Les UPA occupent 41% de la surface des cœurs.

  • Couche sig de l' IGP Miel de Provence Donnée élaborée dans le cadre du rapport de Guy Besson : LES PARCS NATIONAUX ET L'AGRICULTURE, 30 juin 2011. Couche SIG construite à partir de la liste des communes de l'aire géographique décrite par Institut national de l'origine et de la qualité INAO http://www.inao.gouv.fr contours des communes utilisé: IGN GEOFLA Les AOC sont des signes de qualité et d'origine pour les produits agro-alimentaires. Les territoires des parcs nationaux sont concernés par plusieurs AOC, notamment fromagères et viticoles. L'Appellation d'Origine Contrôlée est un signe français qui désigne un produit qui tire son authenticité et sa typicité de son origine géographique. Elle est l'expression d'un lien intime entre le produit et son terroir : - une zone géographique : caractéristiques géologiques, agronomiques, climatiques et historiques... - des savoirs-faire : conditions de production et de transformation spécifiques pour tirer le meilleur parti de la nature. Facteurs naturels et humains sont liés : le produit ne peut être fabriqué hors de son terroir. L'AOC est régie par un décret qui définit le cahier des charges du produit et la délimitation de son aire géographique. L'AOC est une démarche collective, portée par une structure qui représente et rassemble les opérateurs de la filière et qui est l'interlocuteur de l'INAO (Institut national de l'appellation d'origine), garant de la dénomination. L'AOP est la transposition européenne de l'AOC française pour les produits laitiers et agroalimentaires (hors viticulture). AOC et biodiversité : Les cahiers des charges des AOC n'intègrent pas explicitement la préservation de la biodiversité, cependant ils préconisent des pratiques favorables à la biodiversité directement ou indirectement.

  • Un parc national est un espace terrestre ou maritime dont le milieu naturel et, le cas échéant, le patrimoine culturel, « présentent un intérêt spécial » (art. L. 331-1 Code de l'Environnement) Le territoire d'un parc national est composé de deux zones : - le cœur du parc. Afin de préserver le caractère du parc, ce territoire est soumis à une réglementation particulière qui encadre plus ou moins fortement certaines activités afin de s’assurer de leur compatibilité avec la préservation du patrimoine naturel, culturel et paysager. A l’intérieur de cet espace, des réserves intégrales peuvent être constituées pour des raisons scientifiques. Un parc national peut comprendre des espaces appartenant au domaine public maritime et aux eaux sous souveraineté de l’État pour constituer un cœur marin ou une aire maritime adjacente. - l’aire d’adhésion. Cette zone qui entoure le cœur du parc résulte de la libre adhésion à la charte du parc national des communes situées à l’intérieur d’un périmètre optimal fixé par le décret de création du parc. La charte du parc national est un document issu de la concertation qui a pour objectif de traduire la continuité écologique et l’existence d’un espace de vie entre le cœur et l’aire d’adhésion. Elle vise à fédérer les engagements de chaque collectivité signataire autour d’un projet de développement durable. La charte est un projet concerté de territoire. Elle concerne à la fois le cœur et l'aire d'adhésion. Construite collectivement avec les communes et les acteurs du territoire, elle indique les orientations de protection, de mise en valeur et de développement durable retenues pour le territoire pour une durée de validité de 15 ans. Les territoires des communes qui adhèrent à la charte du parc national constituent l'aire d'adhésion du parc national (AA) Les communes, pour leurs territoires hors cœur, qui décident de ne pas adhérer à la charte restent en 'aire potentielle d'adhésion' (APA). Elles ont néanmoins la possibilité d'adhérer à la charte trois ans après son approbation. La révision de la charte est lancée 12 ans après son approbation, le processus consultatif dure en moyenne 3 ans. Après cette période de 15 ans, l'ensemble des communes sont à nouveau consultées, sur la charte révisée. Les codes utilisés dans les tables sont les suivants : CTPN (cœur terrestre du parc national), CMPN (cœur marin du parc national), AMAPN (aire maritime adjacente du parc national), AAPN (aire d'adhésion du parc national), APAPN (aire potentielle d'adhésion du parc national)

  • Les alpages et estives des parcs nationaux de montagne accueillent plus de 560 000 animaux dont environ 500 000 ovins, 54 000 bovins, 3 000 équins et 7 000 caprins (chiffres sous estimés en raison de certaines données manquantes). Les alpages et estives sont organisés en Unités Pastorales d’Altitude (UPA). Une Unité Pastorale est une portion de territoire toujours en herbe dont la fonction principale est le pâturage extensif par des troupeaux ovins, bovins, caprins ou équins. Elle forme une unité géographique, portion de territoire de plus de 10 ha en général et est gérée par un seul gestionnaire. Son utilisation est saisonnière, pour des raisons d’altitude et de climat, en général sans retour journalier des animaux au siège de l’exploitation. Les Unités Pastorales d’Altitude sont utilisées en période estivale (juin à septembre-octobre) et se situent au dessus et au niveau de l’habitat permanent. Les cinq parcs nationaux métropolitains de montagne présentent 1104 UPA, pour une surface de 445 840 ha, soit 34 % du territoire total de ces cinq parcs nationaux (cœur + aire optimale d’adhésion). Les UPA occupent 41% de la surface des cœurs.

  • Le GIP des forêts de Champagne et Bourgogne Créé en juillet 2010, le GIP des Forêts de Champagne et Bourgogne est l’établissement public chargé de piloter la création du parc national, en rassemblant les différents acteurs du projet : représentants de l’Etat et de ses services, collectivités locales (communes et intercommunalités, départements, régions) et des acteurs du territoire (monde économique, associatifs, habitants, …). "Un parc national est un espace terrestre ou maritime dont le milieu naturel et, le cas échéant, le patrimoine culturel, « présentent un intérêt spécial » (art. L. 331-1 Code de l'Environnement) Le territoire d'un parc national est composé de deux zones : - le cœur du parc. Afin de préserver le caractère du parc, ce territoire est soumis à une réglementation particulière qui encadre plus ou moins fortement certaines activités afin de s’assurer de leur compatibilité avec la préservation du patrimoine naturel, culturel et paysager. A l’intérieur de cet espace, des réserves intégrales peuvent être constituées pour des raisons scientifiques. Un parc national peut comprendre des espaces appartenant au domaine public maritime et aux eaux sous souveraineté de l’État pour constituer un cœur marin ou une aire maritime adjacente. - l’aire d’adhésion. Cette zone qui entoure le cœur du parc résulte de la libre adhésion à la charte du parc national des communes situées à l’intérieur d’un périmètre optimal fixé par le décret de création du parc. La charte du parc national est un document issu de la concertation qui a pour objectif de traduire la continuité écologique et l’existence d’un espace de vie entre le cœur et l’aire d’adhésion. Elle vise à fédérer les engagements de chaque collectivité signataire autour d’un projet de développement durable. La charte est un projet concerté de territoire. Elle concerne à la fois le cœur et l'aire d'adhésion. Construite collectivement avec les communes et les acteurs du territoire, elle indique les orientations de protection, de mise en valeur et de développement durable retenues pour le territoire pour une durée de validité de 15 ans. Les territoires des communes qui adhèrent à la charte du parc national constituent l'aire d'adhésion du parc national (AA) Les communes, pour leurs territoires hors cœur, qui décident de ne pas adhérer à la charte restent en "aire potentielle d'adhésion" (APA). Elles ont néanmoins la possibilité d'adhérer à la charte trois ans après son approbation. La révision de la charte est lancée 12 ans après son approbation, le processus consultatif dure en moyenne 3 ans. Après cette période de 15 ans, l'ensemble des communes sont à nouveau consultées, sur la charte révisée."

  • Les régions agricoles et petites régions agricoles ont été définies (en 1946) pour mettre en évidence des zones agricoles homogènes. La Région Agricole (RA) couvre un nombre entier de communes formant une zone d’agriculture homogène. La Petite Région Agricole (PRA) est constituée par le croisement du département et de la RA. Définition du Ministère de l'Agriculture : http://www.agreste.agriculture.gouv.fr/definitions-et-methodes/zonages/

  • Couche sig de l' IGP Tomme des Pyrénées Donnée élaborée dans le cadre du rapport de Guy Besson : LES PARCS NATIONAUX ET L'AGRICULTURE, 30 juin 2011. Couche SIG construite à partir de la liste des communes de l'aire géographique décrite par Institut national de l'origine et de la qualité INAO http://www.inao.gouv.fr contours des communes utilisé: IGN GEOFLA Les AOC sont des signes de qualité et d'origine pour les produits agro-alimentaires. Les territoires des parcs nationaux sont concernés par plusieurs AOC, notamment fromagères et viticoles. L'Appellation d'Origine Contrôlée est un signe français qui désigne un produit qui tire son authenticité et sa typicité de son origine géographique. Elle est l'expression d'un lien intime entre le produit et son terroir : - une zone géographique : caractéristiques géologiques, agronomiques, climatiques et historiques... - des savoirs-faire : conditions de production et de transformation spécifiques pour tirer le meilleur parti de la nature. Facteurs naturels et humains sont liés : le produit ne peut être fabriqué hors de son terroir. L'AOC est régie par un décret qui définit le cahier des charges du produit et la délimitation de son aire géographique. L'AOC est une démarche collective, portée par une structure qui représente et rassemble les opérateurs de la filière et qui est l'interlocuteur de l'INAO (Institut national de l'appellation d'origine), garant de la dénomination. L'AOP est la transposition européenne de l'AOC française pour les produits laitiers et agroalimentaires (hors viticulture). AOC et biodiversité : Les cahiers des charges des AOC n'intègrent pas explicitement la préservation de la biodiversité, cependant ils préconisent des pratiques favorables à la biodiversité directement ou indirectement.