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  • A partir des données de pollution lumineuse issues des simulations, définition d'un jeu de 3 classes de luminosité avec des seuils choisis pour représenter 3 niveaux de pression correspondant à un indicateur territorial unique simplifiant la compréhension de l’enjeu pour le grand public et les décideurs. classe 1 - élevé : luminance zénithale entre inférieur 21 mag/arcsec2 classe 2 - moyen: luminance zénithale entre et 21 et 21.5 mag/arcsec2 classe 3 - faible : luminance zénithale supérieur à 21.5 mag/arcsec2 -- Plus la valeur est importante plus la qualité du ciel nocturne est bonne --

  • Cartes de pollution lumineuse qui représentent la brillance du ciel au zénith (luminance zénithale) en tout point d’un territoire. La brillance du fond de ciel nocturne, mesurée en particulier par Ninox (voir ci-dessous), est appelée NSB (Night Sky Brightness en anglais) et elle est exprimée en magnitudes par seconde d’arc au carré (mag/arcsec2). Cette unité est celle d’une luminance et il s’agit d’une mesure logarithmique dérivée de la magnitude photométrique largement utilisée en astronomie (inspirée de la vision humaine). Sur cette échelle, les valeurs les plus élevées correspondent aux brillances les plus faibles.

  • Localisation des zones de survol autorisés pour le vol à voile en zone coeur du Parc national des Pyrénées par arrêté du directeur pour l'année 2015.

  • Inventaire des points noirs desman réalisé dans le cadre du programme LIFE Desman en 2015. Cet inventaire a été réalisé sur les sites Natura 2000 pour lesquels le PNP était partenaire : le gave d’Ossau (pour sa partie en ZC) et le site Cirque de Gavarnie, Estaubé, Troumouse et Barroude. Sont précisés : l'identifiant du point, le type et le niveau de dangerosité.

  • Localisation des aires de rapaces saisies dans la base de données "rapaces" du Parc national des Pyrénées. Les aires sont saisies par les agents du Parc national des Pyrénées suite aux prospections de terrain. Les espèces concernées sont le Gypaète barbu, le Vautour percnoptère, l'Aigle royal et le Milan royal. Le code de l'aire est précisé. Pour l'ensemble des données attributaires, se référer à la base de données "rapaces" du Parc national des Pyrénées.

  • Localisation des contacts faune (observations ou indices), flore, fonge et habitats saisis dans la base de données "Observations occasionnelles" mise à disposition des parcs nationaux par Parcs nationaux de France à partir de janvier 2013. Données issues des prospections des agents du Parc national des Pyrénées et de partenaires. Sont présents en attibuts : le code de l'observation, l'espèce (référentiel TAXREF du MNHN, V11 ou, pour les habitats, référentiel Corine Biotope), la date d'observation, l'identité et l'organisme de l'observateur.

  • Relevés physico-chimiques réalisés par Sylvain Rollet à l'occasion de sorties de terrain entre novembre 2015 et aout 2017. Sont précisés : la date du relevé, la conductivité, le PH le redox et l'O2 dissous.

  • Localisation des gîtes à chiroptères dans le Parc national des Pyrénées. Données issues des prospections des agents de terrain du Parc national des Pyrénées et des prospections réalisées par le GCA sur la vallée d'Aspe. Le code du gîte est précisé ainsi que les différentes espèces contactées, les effectifs maximum observés et le type de gîte pour chaque espèce.

  • Localisation des bureaux du Parc national des Pyrénées (bureaux du siège et des différentes antennes). Attributs : Le nom du bureau est précisé.

  • Inventaire des pressions connues sur les milieux aquatiques réalisé en 2013. Sont précisés : le type de pression, sa description, son état (potentiel ou existant)