Imagerie/Cartes de base/Occupation des terres
Type of resources
Available actions
INSPIRE themes
Provided by
Years
Formats
Representation types
Update frequencies
status
Scale
-
Précautions d’interprétation et méthodologie : Les cartes présentées ci-dessus sont des simulations de la pollution lumineuse à partir de l’occupation du sol. Les cartes ne sont valables que pour un cône zénithal de 50 ° (c’est à dire par rapport à la verticale d’ un lieu donné), et ne rendent pas compte des effets de la pollution lumineuse à l’horizon. Pour considérer les valeurs indiquées sur les cartes, il est entendu que l’observateur ne doit pas se trouver directement exposé lui-même à une source de lumière directe, et qu’ il se trouve depuis vingt minutes -au moins- à l’abri de toute source de lumière directe. L’exactitude des données n’est pas garantie : les valeurs sont indicatives et obtenues par le seul calcul, et non basées sur la réalité. Les données sont issues de la base d’occupation du sol Corine Land Cover 2006. Seules sont conservées les zones potentiellement émettrice de pollution lumineuse : zones urbaines, zones industrielles, zones pavillonnaires, ports, aéroports, certains aérodromes, routes principales et certaines superstructures (grosses centrales nucléaire notamment). Un algorithme de convolution élaboré par Avex (www.avex-asso.org) permet de transformer les valeurs des zones retenues en simulation de la pollution lumineuse. L’image obtenue est pondérée par le relief qui a un rôle d’atténuation avec l’altitude. Des phénomènes très localisés, comme l’éclairage de monuments ou d’édifices publics, ou au contraire l’extinction des luminaires passé une certaine heure, peuvent fausser localement les données. Ces cartes rendent compte de la pollution lumineuse pour 23 h, l’hiver, avec un taux moyen de 85° d’humidité. Les zones aquatiques ne sont pas à prendre en considération : la propagation des halos lumineux a été volontairement très fortement atténué au dessus des mers, et ce, dans un souci de clarté.
-
Précautions d’interprétation et méthodologie : Les cartes présentées ci-dessus sont des simulations de la pollution lumineuse à partir de l’occupation du sol. Les cartes ne sont valables que pour un cône zénithal de 50 ° (c’est à dire par rapport à la verticale d’ un lieu donné), et ne rendent pas compte des effets de la pollution lumineuse à l’horizon. Pour considérer les valeurs indiquées sur les cartes, il est entendu que l’observateur ne doit pas se trouver directement exposé lui-même à une source de lumière directe, et qu’ il se trouve depuis vingt minutes -au moins- à l’abri de toute source de lumière directe. L’exactitude des données n’est pas garantie : les valeurs sont indicatives et obtenues par le seul calcul, et non basées sur la réalité. Les données sont issues de la base d’occupation du sol Corine Land Cover 2006. Seules sont conservées les zones potentiellement émettrice de pollution lumineuse : zones urbaines, zones industrielles, zones pavillonnaires, ports, aéroports, certains aérodromes, routes principales et certaines superstructures (grosses centrales nucléaire notamment). Un algorithme de convolution élaboré par Avex (www.avex-asso.org) permet de transformer les valeurs des zones retenues en simulation de la pollution lumineuse. L’image obtenue est pondérée par le relief qui a un rôle d’atténuation avec l’altitude. Des phénomènes très localisés, comme l’éclairage de monuments ou d’édifices publics, ou au contraire l’extinction des luminaires passé une certaine heure, peuvent fausser localement les données. Ces cartes rendent compte de la pollution lumineuse pour 23 h, l’hiver, avec un taux moyen de 85° d’humidité. Les zones aquatiques ne sont pas à prendre en considération : la propagation des halos lumineux a été volontairement très fortement atténué au dessus des mers, et ce, dans un souci de clarté.
-
Précautions d’interprétation et méthodologie : Les cartes présentées ci-dessus sont des simulations de la pollution lumineuse à partir de l’occupation du sol. Les cartes ne sont valables que pour un cône zénithal de 50 ° (c’est à dire par rapport à la verticale d’ un lieu donné), et ne rendent pas compte des effets de la pollution lumineuse à l’horizon. Pour considérer les valeurs indiquées sur les cartes, il est entendu que l’observateur ne doit pas se trouver directement exposé lui-même à une source de lumière directe, et qu’ il se trouve depuis vingt minutes -au moins- à l’abri de toute source de lumière directe. L’exactitude des données n’est pas garantie : les valeurs sont indicatives et obtenues par le seul calcul, et non basées sur la réalité. Les données sont issues de la base d’occupation du sol Corine Land Cover 2006. Seules sont conservées les zones potentiellement émettrice de pollution lumineuse : zones urbaines, zones industrielles, zones pavillonnaires, ports, aéroports, certains aérodromes, routes principales et certaines superstructures (grosses centrales nucléaire notamment). Un algorithme de convolution élaboré par Avex (www.avex-asso.org) permet de transformer les valeurs des zones retenues en simulation de la pollution lumineuse. L’image obtenue est pondérée par le relief qui a un rôle d’atténuation avec l’altitude. Des phénomènes très localisés, comme l’éclairage de monuments ou d’édifices publics, ou au contraire l’extinction des luminaires passé une certaine heure, peuvent fausser localement les données. Ces cartes rendent compte de la pollution lumineuse pour 23 h, l’hiver, avec un taux moyen de 85° d’humidité. Les zones aquatiques ne sont pas à prendre en considération : la propagation des halos lumineux a été volontairement très fortement atténué au dessus des mers, et ce, dans un souci de clarté.
-
Carte numérique de communication du territoire du Parc national de La Réunion suite à l'adhésion des communes à la Charte. Arrêté préfectoral du 09 mars 2015.
-
Précautions d’interprétation et méthodologie : Les cartes présentées ci-dessus sont des simulations de la pollution lumineuse à partir de l’occupation du sol. Les cartes ne sont valables que pour un cône zénithal de 50 ° (c’est à dire par rapport à la verticale d’ un lieu donné), et ne rendent pas compte des effets de la pollution lumineuse à l’horizon. Pour considérer les valeurs indiquées sur les cartes, il est entendu que l’observateur ne doit pas se trouver directement exposé lui-même à une source de lumière directe, et qu’ il se trouve depuis vingt minutes -au moins- à l’abri de toute source de lumière directe. L’exactitude des données n’est pas garantie : les valeurs sont indicatives et obtenues par le seul calcul, et non basées sur la réalité. Les données sont issues de la base d’occupation du sol Corine Land Cover 2006. Seules sont conservées les zones potentiellement émettrice de pollution lumineuse : zones urbaines, zones industrielles, zones pavillonnaires, ports, aéroports, certains aérodromes, routes principales et certaines superstructures (grosses centrales nucléaire notamment). Un algorithme de convolution élaboré par Avex (www.avex-asso.org) permet de transformer les valeurs des zones retenues en simulation de la pollution lumineuse. L’image obtenue est pondérée par le relief qui a un rôle d’atténuation avec l’altitude. Des phénomènes très localisés, comme l’éclairage de monuments ou d’édifices publics, ou au contraire l’extinction des luminaires passé une certaine heure, peuvent fausser localement les données. Ces cartes rendent compte de la pollution lumineuse pour 23 h, l’hiver, avec un taux moyen de 85° d’humidité. Les zones aquatiques ne sont pas à prendre en considération : la propagation des halos lumineux a été volontairement très fortement atténué au dessus des mers, et ce, dans un souci de clarté.
-
Carte numérique de communication du territoire du Parc national des Pyrénées suite à l'adhésion des communes à la Charte. Arrêté préfectoral du 15 février 2016.
-
Précautions d’interprétation et méthodologie : Les cartes présentées ci-dessus sont des simulations de la pollution lumineuse à partir de l’occupation du sol. Les cartes ne sont valables que pour un cône zénithal de 50 ° (c’est à dire par rapport à la verticale d’ un lieu donné), et ne rendent pas compte des effets de la pollution lumineuse à l’horizon. Pour considérer les valeurs indiquées sur les cartes, il est entendu que l’observateur ne doit pas se trouver directement exposé lui-même à une source de lumière directe, et qu’ il se trouve depuis vingt minutes -au moins- à l’abri de toute source de lumière directe. L’exactitude des données n’est pas garantie : les valeurs sont indicatives et obtenues par le seul calcul, et non basées sur la réalité. Les données sont issues de la base d’occupation du sol Corine Land Cover 2006. Seules sont conservées les zones potentiellement émettrice de pollution lumineuse : zones urbaines, zones industrielles, zones pavillonnaires, ports, aéroports, certains aérodromes, routes principales et certaines superstructures (grosses centrales nucléaire notamment). Un algorithme de convolution élaboré par Avex (www.avex-asso.org) permet de transformer les valeurs des zones retenues en simulation de la pollution lumineuse. L’image obtenue est pondérée par le relief qui a un rôle d’atténuation avec l’altitude. Des phénomènes très localisés, comme l’éclairage de monuments ou d’édifices publics, ou au contraire l’extinction des luminaires passé une certaine heure, peuvent fausser localement les données. Ces cartes rendent compte de la pollution lumineuse pour 23 h, l’hiver, avec un taux moyen de 85° d’humidité. Les zones aquatiques ne sont pas à prendre en considération : la propagation des halos lumineux a été volontairement très fortement atténué au dessus des mers, et ce, dans un souci de clarté.
-
Un parc national est un espace terrestre ou maritime dont le milieu naturel et, le cas échéant, le patrimoine culturel, « présentent un intérêt spécial » (art. L. 331-1 Code de l'Environnement) Le territoire d'un parc national est composé de deux zones : - le cœur du parc. Afin de préserver le caractère du parc, ce territoire est soumis à une réglementation particulière qui encadre plus ou moins fortement certaines activités afin de s’assurer de leur compatibilité avec la préservation du patrimoine naturel, culturel et paysager. A l’intérieur de cet espace, des réserves intégrales peuvent être constituées pour des raisons scientifiques. Un parc national peut comprendre des espaces appartenant au domaine public maritime et aux eaux sous souveraineté de l’État pour constituer un cœur marin ou une aire maritime adjacente. - l’aire d’adhésion. Cette zone qui entoure le cœur du parc résulte de la libre adhésion à la charte du parc national des communes situées à l’intérieur d’un périmètre optimal fixé par le décret de création du parc. La charte du parc national est un document issu de la concertation qui a pour objectif de traduire la continuité écologique et l’existence d’un espace de vie entre le cœur et l’aire d’adhésion. Elle vise à fédérer les engagements de chaque collectivité signataire autour d’un projet de développement durable. La charte est un projet concerté de territoire. Elle concerne à la fois le cœur et l'aire d'adhésion. Construite collectivement avec les communes et les acteurs du territoire, elle indique les orientations de protection, de mise en valeur et de développement durable retenues pour le territoire pour une durée de validité de 15 ans. Les territoires des communes qui adhèrent à la charte du parc national constituent l'aire d'adhésion du parc national (AA) Les communes, pour leurs territoires hors cœur, qui décident de ne pas adhérer à la charte restent en 'aire potentielle d'adhésion' (APA). Elles ont néanmoins la possibilité d'adhérer à la charte trois ans après son approbation. La révision de la charte est lancée 12 ans après son approbation, le processus consultatif dure en moyenne 3 ans. Après cette période de 15 ans, l'ensemble des communes sont à nouveau consultées, sur la charte révisée. Les codes utilisés dans les tables sont les suivants : CTPN (cœur terrestre du parc national), CMPN (cœur marin du parc national), AMAPN (aire maritime adjacente du parc national), AAPN (aire d'adhésion du parc national), APAPN (aire potentielle d'adhésion du parc national)
-
Un parc national est un espace terrestre ou maritime dont le milieu naturel et, le cas échéant, le patrimoine culturel, « présentent un intérêt spécial » (art. L. 331-1 Code de l'Environnement) Le territoire d'un parc national est composé de deux zones : - le cœur du parc. Afin de préserver le caractère du parc, ce territoire est soumis à une réglementation particulière qui encadre plus ou moins fortement certaines activités afin de s’assurer de leur compatibilité avec la préservation du patrimoine naturel, culturel et paysager. A l’intérieur de cet espace, des réserves intégrales peuvent être constituées pour des raisons scientifiques. Un parc national peut comprendre des espaces appartenant au domaine public maritime et aux eaux sous souveraineté de l’État pour constituer un cœur marin ou une aire maritime adjacente. - l’aire d’adhésion. Cette zone qui entoure le cœur du parc résulte de la libre adhésion à la charte du parc national des communes situées à l’intérieur d’un périmètre optimal fixé par le décret de création du parc. La charte du parc national est un document issu de la concertation qui a pour objectif de traduire la continuité écologique et l’existence d’un espace de vie entre le cœur et l’aire d’adhésion. Elle vise à fédérer les engagements de chaque collectivité signataire autour d’un projet de développement durable. La charte est un projet concerté de territoire. Elle concerne à la fois le cœur et l'aire d'adhésion. Construite collectivement avec les communes et les acteurs du territoire, elle indique les orientations de protection, de mise en valeur et de développement durable retenues pour le territoire pour une durée de validité de 15 ans. Les territoires des communes qui adhèrent à la charte du parc national constituent l'aire d'adhésion du parc national (AA) Les communes, pour leurs territoires hors cœur, qui décident de ne pas adhérer à la charte restent en 'aire potentielle d'adhésion' (APA). Elles ont néanmoins la possibilité d'adhérer à la charte trois ans après son approbation. La révision de la charte est lancée 12 ans après son approbation, le processus consultatif dure en moyenne 3 ans. Après cette période de 15 ans, l'ensemble des communes sont à nouveau consultées, sur la charte révisée. Les codes utilisés dans les tables sont les suivants : CTPN (cœur terrestre du parc national), CMPN (cœur marin du parc national), AMAPN (aire maritime adjacente du parc national), AAPN (aire d'adhésion du parc national), APAPN (aire potentielle d'adhésion du parc national)
-
Etat des connaissances des espaces protégés méditerranéens, Colloque de La Garde, 10 et 11 juin 2010
Parcs Nationaux de France a organisé les 10 et 11 juin 2010 un colloque consacré aux « Parcs naturels et l’Union pour la Méditerranée». Ces rencontres, qui s’inscrivent dans le cadre de l’Année Internationale de la Biodiversité, sont l’occasion de lancer, avec tous les acteurs concernés, une réflexion sur les enjeux communs des aires protégées en Méditerranée. Partant des constats selon lesquels : • l’écorégion Méditerranée comptabilise plus de 1000 réserves, parcs naturels et autres espaces protégés, • il existe de nombreux réseaux et outils financiers en faveur de la protection de la biodiversité méditerranéenne marine et terrestre, • les aires protégées peuvent être le fer de lance d’une politique ambitieuse de préservation de la biodiversité sur l’ensemble de la Méditerranée, Parcs Nationaux de France a invité l’ensemble de ces acteurs à se réunir à La Garde (Var) les 10 et 11 juin 2010 pour échanger sur les thématiques partagées que constituent la gouvernance, le tourisme durable, l’agropastoralisme et les changements globaux. Les travaux de ces deux journées ont pour ambition de dynamiser un travail en réseau des espaces protégés méditerranéens avec l’appui des réseaux et structures existants et de fixer un calendrier de rencontres thématiques pour les trois prochaines années. L'enjeu de ce colloque organisé à La Garde (Var) par Parcs nationaux de France les 10 et 11 juin 2010 était d'initier avec tous les acteurs concernés (responsables politiques, gestionnaires d'espaces protégés, bailleurs et experts de la Méditerranée) une réflexion sur les enjeux communs des mille aires protégées identifiées sur le pourtour méditerranéen.Les représentants des aires protégées de 13 pays de la Méditerranée (Liban, Israël, Jordanie, Turquie, Croatie, Albanie, Macédoine, Algérie, Maroc, Tunisie, Italie, Espagne et France) ont participé à ces rencontres.